Ce devrait être la préoccupation de tout être humain de sa naissance à sa fin. Les agresseurs sont partout, certains à l’intérieur de notre corps, d’autres à l’extérieur. De même que l’on met un toit à sa maison, on devrait entretenir ses défenses.
Auteur : Christian Bois
Le présent document est issu de la méthode de fabrique du savoir d’Une Fabrique de Communs. (1)
Un booster c’est ce qui renforce l’efficacité du système immunitaire.
Il peut être végétal, minéral ou composite.
Selon l’état de son système immunitaire, on prendra 3 ou plus de ces boosters.
Les doses sont indiquées dans les conditionnements de chaque booster.
Le nom de la plante, etc. est en caractère gras + lien pour anglophones
En dessous, les noms des auteurs de travaux académiques.
Echinacée phyto Echinacea Anglophone WikiPedia
Sadigh-Eteghad, Taylor, Turner, Karsch-Völk, Goel, Sachin, Zwickey, Brush
Bourgeon de cassis BlackCurrant Ribes nigrum
Gerbaka, Ashigai, Andrianne
Propolis Propolis
Sforcin, Wolska
Argent colloïdal Therapeutic silver
Sim
Champignons en gélules ou ampoules : Reichi/Lingzhi ganoderma lucidum, Cordyceps Cordyceps, Shiitake Shiitake lentinula, Maitake Maitake Grifola, etc.
Source : Wachtel-Galor, Schaeffer, Vetvicka
Astragale Astragalus qui booste le système immunitaire
Guobin, Liu JP, Gu, Huang, Yan, Liu ZG, Wu, Wang, Weng, Upton, Block, Zwickey, Brush, Xiaofei, NCCIH, AMR
Flos lonicera ou Lonicera japonica ou Lonicera macranthoides ou fleur de chevrefeuille
Liu
Notes
(1) Public visé par ces conseils
Patient qui n’a pas accès au service médical de son pays.
Patient pour lequel aucun traitement antiviral n’est proposé par le médecin.
Patient qui a décidé d’être le maître d’ouvrage de sa santé en particulier parce que son organisme est trop allergique / intolérant aux molécules « étrangères » issues de procédés de synthèse.
Ce patient doit se faire accompagner par un praticien qualifié en usage des huiles essentielles afin de vérifier la tolérance de son organisme.
Se soigner comme indiqué ci-dessus doit se faire en parallèle au diagnostic médical qui permet d’identifier, en particulier, les co-morbidités.
(2) Les plantes ne sont pas du tout des thérapies douces !!!
Par exemple le huiles essentielles peuvent présenter des risques toxiques, il est impératif que chaque utilisateur soit informé des bonnes pratiques de l’aromathérapie avant leur utilisation.